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Olivier Giroud, footballeur français exemple de persévérance

Ressource(s) évoquée(s) dans l’épisode :

 

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Transcription de l’épisode :

Salut cher(e) ami(e), merci de me rejoindre pour ce nouvel épisode du podcast “Marcher avec Johan” qui, encore une fois, sera nommé “Rouler avec Johan” puisque je suis en route. Et plutôt que d’enregistrer cet épisode en marchant dans la forêt comme je le fais d’habitude, je l’enregistre en roulant. Voilà, je suis sur la route. Il y a un peu d’embouteillage, mais ce n’est pas grave.

On passe un petit moment ensemble et aujourd’hui, on va parler persévérance et on va parler aussi un peu football puisque la personne dont je voudrais te parler, que je voudrais prendre en exemple, est un joueur de football, un joueur français.

Avant tout ça, comme d’habitude, je voulais te rappeler que si tu étais intéressé par le développement personnel, je te recommandais d’aller jeter un œil à www.francaisauthentique.com/4p, pour découvrir mon bouquin de développement personnel.

Alors, je parle souvent de persévérance. J’en ai beaucoup parlé dans mes contenus. La persévérance est tout simplement une qualité qui fait que tu n’abandonnes pas. Tu n’abandonnes pas quand tu t’es lancé dans un projet, quand tu as un objectif, tu n’abandonnes pas. Ça c’est ce qu’on appelle la persévérance. En tout cas, si tu as cette qualité, si tu n’abandonnes pas, tu es persévérant, tu as de la persévérance.

Il y a d’ailleurs une citation de Georges Clémenceau que je reprends souvent, qui est, le seul moyen de ne pas échouer ou le seul moyen d’échouer, pardon je vais te la refaire…. Ce ne sera peut-être même pas d’ailleurs la citation exacte. Mais en tout cas, ce que nous disait Georges Clémenceau, c’est : « Le seul moyen d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi. » Le seul moyen d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi.

Donc, en nous disant ça, Georges Clémenceau qui était un homme d’État français, il nous indiquait que finalement, pour réussir quelque chose ou pour être sûr de ne pas échouer, il faut persévérer.

Je voulais te parler aujourd’hui d’un joueur de foot, un joueur de football français que j’admire et dont j’ai lu la biographie, la biographie qui s’appelle : “Toujours y croire”. Donc tu vois, toujours y croire, on recoupe ou on est conforme à cette notion de persévérance. Et il s’agit du joueur Olivier Giroud, Olivier Giroud.

Alors, comme je suis sur la route aujourd’hui, je dois être plus prudent que quand je marche dans la forêt, même si on peut se blesser en marchant dans la forêt.

Et donc Olivier Giroud, qui a écrit “Toujours y croire”, c’est une personne qui pour moi, dispose de beaucoup de persévérance et est très remarquable à ce sujet. La biographie, le livre en lui-même, pas exceptionnel. Je m’attendais à mieux. J’étais un peu déçu, mais ça confirme ce que je pensais de lui.

Alors déjà, qui c’est Olivier Giroud ? Comme je le disais, c’est un joueur de foot français. Il joue au poste d’attaquant, c’est-à-dire que son rôle numéro un, c’est de marquer des buts. Il a aujourd’hui 34 ans et il a joué dans différents clubs. Grenoble, il nous explique tout cela dans sa biographie : Grenoble, Tours, Istres, Montpellier, Arsenal et il joue aujourd’hui à Chelsea. Il a joué… donc à Chelsea club de Londres, tout comme Arsenal ; il a joué 570 matches dans sa carrière professionnelle en club et a marqué 235 buts. Donc tu vois, 235 buts marqués pour 570 matches joués. Donc très, très belle performance.

En équipe de France, c’est le deuxième buteur de tous les temps, deuxième marqueur de tous les temps. En équipe de France, il a joué 105 matches et a marqué 44 buts. Seul Thierry Henry, qui était aussi un grand joueur français, a marqué plus de buts que lui puisque Thierry Henry a marqué 51 buts et Olivier Giroud en a marqué 44, mais sa carrière n’est pas encore terminée. Il est en plus de tout ça, évidemment, champion du monde 2018 avec l’équipe de France.

Quand je te parle de tous ces chiffres, quand je te présente tous ces chiffres, eh bien, je pense que tu te dis voilà, c’est une personne qui fait l’unanimité, c’est-à-dire dont tout le monde reconnaît qu’il est bon, que c’est un bon joueur. Et malgré ça, malgré ces chiffres et malgré ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas le cas. C’est un joueur qui a été et qui est encore aujourd’hui très, très souvent critiqué, aussi bien par le public que par les journalistes.

Une des raisons de cela, c’est qu’il a un jeu un peu spécial. Il est grand, il n’est pas forcément rapide, ne court pas très, très, très vite, mais il a évidemment d’autres qualités exceptionnelles, qui font de lui un très bon joueur, un grand joueur que j’apprécie personnellement beaucoup, mais pour certaines personnes, souvent des gens qui ne connaissent pas trop le football, un attaquant qui ne court pas vite, ce n’est pas un bon attaquant. Et donc, du coup, il a été très critiqué pour son jeu un peu spécial, son style un peu particulier et aussi bien, comme je disais, par le public que par les journalistes.

Il y a aussi une chose qui a joué un peu contre lui, c’est qu’il a pris la place de Karim Benzema, qui était un attaquant, qui est toujours un attaquant, qui joue au Réal Madrid et qui jouait en équipe de France, qui était assez populaire. Donc, le fait que Giroud, Olivier Giroud joue à sa place, ça a créé aussi pas mal de tensions. Et on pourrait se dire, on pourrait trouver, beaucoup trouveraient ça injuste, en fait. Tu imagines un joueur qui a une super carrière, qui marque beaucoup de buts, qui est vraiment très fort et qui finalement est mal aimé, aussi bien du public que des gens. On pourrait se dire : « Ah ! ben c’est injuste », on pourrait trouver ça injuste. Il pourrait même arrêter de se battre, arrêter de s’entraîner, arrêter d’être motivé. Il pourrait se dire : « Non ! Tout ça c’est injuste. Ça ne vaut pas la peine finalement. Ça ne vaut pas la peine que je sois motivé. Ça ne vaut pas la peine que je fasse trop d’efforts puisque malgré mes efforts et malgré le fait que je marque beaucoup de buts et que je joue bien, les gens et les journalistes me critiquent. »

Au lieu de ça, et c’est ce que j’aime chez lui, lui se nourrit de ça, c’est-à-dire que non seulement ça ne le démotivent pas, mais en plus, ça va même avoir tendance à le motiver encore plus. Ça va lui donner de l’énergie. Et ça, il le dit beaucoup dans son livre. Il se nourrit de cette adversité, de ce qui peut être perçu comme de l’injustice. Et il ne doute pas. Il ne pense qu’à une chose c’est le travail. Il travaille. Il se focalise sur son rôle et c’est ce que je disais quand je parlais de persévérance. C’est une chose qu’il garde en lui et qui, finalement, fait sa force. C’est quelque chose qui fait sa force, qui fait que c’est un grand joueur, parce que plutôt que de penser à être aimé, plutôt que de se focaliser sur l’injustice, lui, il persévère, il travaille et il se focalise, c’est une chose que je dis souvent également, il se focalise sur l’essentiel et l’essentiel pour lui, c’est de jouer au foot, de s’entraîner et de bien jouer au foot. Ensuite, le reste, ce n’est plus vraiment en son pouvoir, donc c’est un petit peu comme ça qu’il voit les choses.

Alors c’est comme ça que je le percevais personnellement, parce que voilà, on se fait parfois une image de quelqu’un. Moi, je le percevais comme ça. C’est un petit peu la façon que j’avais de le voir et finalement, je me suis aperçu en lisant son bouquin que c’était exactement ça. Il se nourrit dans l’adversité, il persévère. Et quand on pense, quand tout le monde pense que tout est perdu pour lui, il y a un moment il a eu des difficultés en équipe de France, des difficultés avec ses clubs, aussi bien à Arsenal qu’à Chelsea, où il ne jouait pas beaucoup, il jouait très peu, il était remplaçant et tout le monde pensait que c’était perdu pour lui et lui répondait toujours présent. A chaque fois que son entraîneur le faisait jouer, il marquait des buts et du coup, il gardait sa place dans le groupe et finissait par récupérer sa place dans le groupe.

Donc, c’est une très, très belle inspiration pour nous tous. Mettons nos egos de côté, ne nous focalisons pas sur ce que pensent les autres, sur ce que disent les autres. Il n’y a qu’une chose qui est important, finalement : c’est le travail. Travailler dur aussi bien pour un joueur de foot, que pour un entrepreneur, que pour quelqu’un qui étudie, que pour quelqu’un qui aimerait parler le français couramment, l’important, c’est le travail parce que c’est lui qui paie. C’est le travail qui fait qu’au final, on réussit où on ne réussit pas, mais on met l’ego de côté. On ignore l’injustice. On est conscient du fait que le travail finit toujours par payer et donc ça nous pousse à persévérer parce qu’on est sûr et certain que finalement, les résultats finiront par suivre.

Donc, voilà ce que je voulais te dire. Si tu aimes le foot et si tu aimes Olivier Giroud ou si tu as envie d’en apprendre un peu plus sur le sujet, tu peux lire sa biographie : “Toujours y croire”.

Encore une fois, ce n’est pas forcément un super, super bouquin. Ça nous raconte plein de choses sur sa vie. C’est plutôt bien écrit.

Voilà, je pense avoir partagé avec toi l’essentiel, ou en tout cas ce qui m’a moi, le plus touché, le plus intéressé personnellement, mais voilà, comme d’habitude on peut en parler sur les réseaux sociaux. Donc, tu peux me donner ton avis sur les différents réseaux de Français Authentique.

On se retrouve très bientôt. N’oublie pas, si tu aimes lire, d’aller jeter un œil à www.francaisauthentique.com/4p, comme 4 pilules, mon bouquin de développement personnel.

Merci de m’avoir suivi. A très, très, très bientôt, pour du nouveau contenu en Français Authentique. Salut!