Comment Melanie a appris le français

Abonnez-vous à la chaine You Tube pour ne manquer aucune vidéo : cliquez ici.

Téléchargez le fichier MP3 ici.
Téléchargez le fichier PDF ici.

Transcription de la vidéo :

Dans la vidéo d’aujourd’hui, nous allons écouter les conseils de Mélanie qui est allemande, qui est membre de la famille Français Authentique et qui va partager quelques conseils qui vous aideront à mieux parler le Français.

Bonjour les amis, merci de me rejoindre pour cette nouvelle vidéo de Français Authentique. La vidéo du 4 novembre dernier (qui a été publiée le 4 novembre 2016) sur la chaîne YouTube de Français Authentique a rencontré tellement de succès que j’ai voulu réitérer l’exercice (réitérer veut dire répéter). Et dans cette vidéo de novembre, mon amie Fernanda qui est brésilienne partageait avec nous son expérience dans l’apprentissage du Français et nous donnait quelques conseils qui l’ont aidée à apprendre à parler le Français. Vous avez été très nombreux à me dire que vous appréciez ce type de vidéo et c’est pourquoi j’ai invité quelqu’un d’autre aujourd’hui. J’aime beaucoup cet exercice parce que je pense que d’une part, ça vous montre que c’est possible. Si Fernanda (qu’on a vue le mois dernier) et Mélanie (qu’on va voir aujourd’hui) ont réussi à apprendre le Français, vous pouvez le faire aussi. Donc, la première raison pour laquelle je partage avec vous ces vidéos, c’est ça : c’est pour vous montrer que c’est possible.

Une autre chose que j’aime dans ces discussions, c’est qu’on peut bénéficier des conseils de personnes qui ont réussi. Donc, écouter leurs conseils nous permet à nous-mêmes de nous améliorer et de faire en sorte de mieux parler une langue étrangère et pour vous, pour mieux parler le Français. J’ai invité Mélanie – vous la connaissez peut-être – il s’agit de Mélanie Minuit que vous voyez souvent à la fin de mes vidéos puisqu’elle compose de la musique. Je l’ai rencontrée l’année dernière à Berlin (puisqu’elle vit à Berlin en Allemagne) et je l’ai invitée à partager son expérience dans l’apprentissage du Français avec nous. Donc, on y va, on écoute Mélanie.

Johan : Bonjour à tous, membres de Français Authentique. Comme promis et comme présenté en introduction, j’ai le bonheur d’accueillir Mélanie aujourd’hui. Salut Mélanie !

Mélanie : Salut Johan et salut à toute la famille de Français Authentique. Je suis très contente d’être ici aujourd’hui parce que ça fait très longtemps que je te suis, Johan, et c’est pourquoi c’est un grand plaisir pour moi.

Johan : Pour nous aussi ! Tu sais que les membres te connaissent déjà parce qu’on connaît ta musique à travers les vidéos de Français Authentique et j’ai toujours de bons retours là-dessus. Est-ce que tu pourrais, pour ceux qui ne te connaissent pas très bien, nous parler un petit peu de toi, qui tu es, où est-ce que tu habites, ce que tu fais, etc. ?

Mélanie : Oui, bien sûr, je vais commencer. Je m’appelle Mélanie, j’ai 27 ans et je viens d’Allemagne. J’habite à Berlin et je suis née et [j’ai] grandi près de Frankfort et après avoir passé mon BAC, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire dans ma vie. Et actuellement, je fais des études de musique et de Français parce que je suis très passionnée de la musique et c’est pourquoi j’aime beaucoup la combinaison avec le Français et la musique parce que j’adore la musique et j’adore aussi la langue française.

Johan : D’accord ! Toi, ta spécialité, c’est le piano ?

Mélanie : Le piano, oui, exactement ! J’adore le piano et j’ai composé quelques pièces pour le piano. J’ai fait déjà un album l’année dernière.

Johan : Celui-là, c’est ça. Je l’ai, je l’aime beaucoup, je l’écoute souvent. Il y a pas mal de chansons que j’utilise en fin de vidéo. Il a un an, cet album, c’est ça ?

Mélanie : Oui, c’est ça, exactement ! Et maintenant, ça fait encore [c’est dans] quatre jours que mon deuxième album sort et le nom de l’album, c’est Magic morning melodies et ça sort le 7 novembre (c’est lundi).

Johan : D’accord ! Donc, ce sera déjà sorti au moment où les gens verront cette vidéo et c’est des reprises de toutes les chansons que tu publies le lundi ou tu vas mettre des nouvelles ? Qu’est-ce que tu as prévu là-dessus ?

Mélanie : Ce sont les chansons que je préfère, ce sont des chansons que j’ai déjà sur ma chaîne YouTube. J’ai mis quelques pièces que j’adore et je les ai mises pour le disque.

Johan : D’accord, génial ! Au niveau de ton apprentissage du Français, tu dis que tu prends des cours de Français ou tu apprends le Français : qu’est-ce qui t’a donné envie d’apprendre le Français et comment tu as fait ? Explique-nous un petit peu tout ça.

Mélanie : D’accord ! Où je vais commencer ? J’ai appris le Français à l’école et je pense que j’ai eu le Français pendant sept ans à l’école. J’ai toujours aimé cette matière et j’ai eu un prof au lycée qui était très sévère. Il nous a fait conjuguer tous les verbes et tout ça, et comme ça, je suis devenue très forte à l’écrit, mais pas à l’oral.

Johan : Donc, tu avais de bonnes bases théoriques parce que tu avais étudié beaucoup le Français mais tu n’arrivais pas à parler parce qu’on ne t’avait pas enseigné le Français à l’oral, le Français qu’on parle ?

Mélanie : Oui, malheureusement, c’est comme ça parce que j’ai toujours des problèmes de [pour] parler librement parce qu’à l’école on n’apprend pas à parler.

Johan : Ensuite, comment tu as fait pour puisque là, on t’entend, tu parles très bien le Français ; qu’est-ce qui s’est passé entre-temps ?

Mélanie : Après l’école – je l’ai déjà dit – j’ai fait aussi des études de Français et j’ai commencé à étudier en 2012, mais le problème c’était que les études, c’est quelque chose de très … ils mettent l’accent sur la théorie. Tu sais, on apprend des choses comme par exemple les sciences du langage et je te jure, ce n’est pas très intéressant et moi, j’ai pensé : « Ah, étudier le Français, c’est bon comme ça. Je veux apprendre comment on parle couramment ou quelque chose comme ça. »

Johan : C’est le but, en fait.

Mélanie : Ça n’a pas fonctionné, pas du tout et je me suis dit : « Si je veux vraiment apprendre à parler le Français, il me faut aller à l’étranger. » Et comme ça, c’était en 2013, je suis allé en France dans le cadre de ERASMUS et j’ai continué mes études de Français en France.

Johan : Tu étais du côté de Toulouse, c’est ça ?

Mélanie : Oui, j’ai habité à Toulouse ; c’est une petite ville dans le Sud de France et au début, c’était très difficile pour moi parce que je me suis rendue compte que je ne pouvais pas comprendre ce que les gens disent et j’ai pensé : « Mais comment faire maintenant ? » parce que je n’étais pas capable de parler avec les gens en Français.

Johan : Tu étais frustrée du coup … Tu ne comprenais pas et tu n’arrivais pas à parler.

Mélanie : Oui, c’est ça. C’est vraiment frustrant parce que j’ai habité dans une colocation avec des Français et tout ça, mais malheureusement, je n’ai pas fait beaucoup de progrès. J’étais complètement déprimée et j’ai pensé : « D’accord, il faut que je change la situation. » Je ne vais jamais oublié ce jour-là : j’étais assise devant l’ordinateur et j’ai tapé « apprendre Français », « mieux parler Français » ou quelque chose comme ça et voilà, j’ai trouvé le visage de Johan et depuis ce jour-là, tout s’est amélioré. Oui, c’était très très bien que j’aie découvert Français Authentique parce que depuis ce jour-là, j’ai commencé à écouter les podcasts et ça m’a aidé beaucoup et j’ai fait des progrès énormes. Avant, je n’ai jamais eu envie de sortir le soir ou de rencontrer d’autres personnes et tout ça ; j’étais un peu timide parce que j’ai eu peur de faire des fautes et, oui, je ne me suis pas sentie très bien dans ma peau. Tu sais, parce que parler une autre langue …

Johan : Oui, je connais, ce n’est pas toujours facile. Je suis content de t’avoir aidée à te donner le déclic, en tout cas, puisque finalement, c’est seulement ce qui te manquait puisque tu avais des bases déjà, puisque tu avais déjà bien appris le Français, tu vivais en France, donc, tu avais l’occasion de parler le Français très souvent et il te manquait juste… C’était ce qui te freinait, c’était ça le problème, un peu d’émotion et tu avais peur et tu ne voulais pas parler. C’est assez intéressant à entendre et ça confirme ce que j’entends souvent par le biais d’autres élèves que c’est souvent quand on a vraiment peur de se tromper qu’on est bloqué et qu’on n’arrive pas à parler.

Mélanie : Oui, exactement !

Johan : Et donc, après, tu as écouté un peu les podcasts et du coup, tu as pu commencer à t’intégrer en France et à discuter avec des francophones un peu plus facilement ?

Mélanie : Oui, c’est ça. C’est très drôle parce que j’ai eu toujours ta voix dans mes oreilles. Et quand j’ai parlé avec d’autres personnes, je me suis surprise à utiliser les structures de phrases que toi tu as aussi utilisées. C’était très drôle pour moi parce que comme ça, je ne me sentais pas très seule ou quelque chose comme ça parce qu’il y avait quelqu’un qui m’a aidée.

Johan : Ce qu’il faut aussi retenir, c’est … Effectivement, c’est bien que tu aies trouvé cette ressource qui t’a aidée, qui t’a un peu libérée, mais toi, tu as beaucoup travaillé pour ça puisque si les phrases te venaient ensuite automatiquement et que tu réemployais les phrases que tu m’avais entendu prononcer, c’est que tu ne t’es pas contentée d’écouter une fois, c’est que tu as beaucoup beaucoup beaucoup écouté pour réussir à parler, donc, c’est beaucoup de travail également.

Mélanie : Oui, je me rappelle ; par exemple, mon podcast préféré, c’était « Il ne faut jamais dire jamais ». Je l’ai aimé beaucoup et je l’ai écouté presque cinquante fois ou quelque chose comme ça quand j’ai fait du jogging ou quand j’ai fait mes courses et tout ça. C’est très bien pour apprendre le Français.

Johan : Tu sais, finalement, moi, c’est ce que j’ai fait aussi en Anglais, en Allemand – on a parlé Allemand ensemble, tu sais que j’arrive à m’exprimer à l’oral également. En fait, c’est ce qui marche et ce que j’essaye de partager dans les sept règles, c’est : écouter beaucoup, utiliser les temps morts. Toi, tu as écouté en faisant ton jogging ou tes courses, donc, c’est-à-dire que tu avais une vie à côté, tu n’étais pas 100% focalisée sur le Français ; tu pouvais travailler pendant tes temps morts et ne pas avoir peur de faire des erreurs. Et si on arrive à mettre tout ça bout à bout et qu’on travaille beaucoup, au final on atteint un résultat comme le tien, donc, c’est assez sympa à entendre.

Ce que je voulais te demander, Mélanie,  – et c’est une question qui m’intéresse beaucoup pour moi – c’est comment tu maintiens ton niveau ? Parce que tu as vécu en France pendant un an et depuis, tu n’as plus trop l’occasion de pratiquer le Français, j’imagine, puisque tu vis à Berlin. Comment tu arrives à maintenir ton niveau de Français et à être capable de t’exprimer comme tu le fais aujourd’hui avec nous ?

Mélanie : D’un côté, je suis toujours confrontée avec la langue parce qu’à cause de mes études, il y a chaque jour des cours où il faut parler Français, (mais ça ne me plaît pas beaucoup) et c’est un peu dommage pour moi parce qu’aller à l’étranger et après, c’est très important qu’on commence à parler avec quelqu’un qui parle Français, qui est Français, par exemple parce que maintenant, j’ai oublié beaucoup de mots et tout ça et c’est très dommage.

Johan : Je ne pense pas que tu les aies oubliés ; à mon avis, tu ne les as pas oubliés, mais ils sont trop loin en arrière de ta tête.

Mélanie : [Tu peux le réactiver] Si je fais vraiment des exercices ou que je commence à parler avec quelqu’un, ça revient.

Johan : Ou si tu retournais en France pour quelques mois. J’ai l’exemple aussi, j’ai travaillé pendant dix ans dans un pays germanophone et là, depuis le mois de janvier, je suis rentré en France et je ne travaille plus en Allemagne et je sens – hier, j’ai discuté au téléphone avec un ami autrichien – qu’il me manque des mots, mais je ne les ai pas oubliés – ils sont encore là – mais ce n’est plus automatique, ce n’est plus fluide. C’est pour ça que je te posais cette question parce que moi, j’essaye de lire beaucoup en Allemand, j’essaye d’écouter aussi encore, d’utiliser la même méthode, beaucoup d’écoute pendant les temps morts, mais c’est vrai que ce n’est pas facile de maintenir le niveau qu’on a eu dans une langue étrangère.

Mélanie : Ouais, c’est la vie ! Mais, ce que je veux faire maintenant, je veux chercher un partenaire pour faire un tandem parce que je vis à Berlin et ici, il y a beaucoup de Français maintenant ou des personnes qui parlent Français et [comme ça], je vais m’améliorer encore un tout petit peu.

Johan : Ouais, c’est toujours bien ! Et maintenir le niveau puisque tu as fait beaucoup d’efforts et tu as travaillé des heures pour ça, donc, c’est important. J’aurai encore deux  petites choses à te demander. La première : tu nous a déjà donné des conseils importants qui, j’espère, aideront les membres qui, comme toi, ont envie de parler Français. Qu’est-ce que ce serait, ton conseil n°1 si tu rencontrais quelqu’un et que tu devais lui donner un conseil pour qu’il arrive à s’exprimer en Français comme toi aujourd’hui ? Qu’est-ce que tu lui donnerais comme conseil ?

Mélanie : Le premier conseil, c’est « n’ayez pas peur à [de]faire des fautes » parce que ça, c’est l’essentiel. Vous savez, par exemple, j’ai eu une situation à l’université [où] il y avait un prof qui m’a critiqué beaucoup parce que j’ai fait beaucoup de fautes quand j’ai parlé. Et je me suis dit : « D’accord ! Ça m’est bien égale parce que mon but, c’est de parler Français et d’être capable de communiquer avec des Français et c’est tout. » Et j’ai pensé : « La chose principale, c’est qu’on ait le courage à parler et qu’on n’ait pas peur à [de]parler. » Et ça, c’est quelque chose qui est à la tête.

Johan : Ce n’est pas toujours facile parce qu’on a forcément… C’est intimidant de parler dans une langue étrangère et personne n’a envie de se tromper, donc, ça peut effectivement être un problème, mais je te rejoins : le fait de ne pas avoir peur, de se dire que les Français font des erreurs… Si je te montre des e-mails de Français que je reçois avec cinq erreurs d’orthographe par paragraphe… On fait tous des erreurs. Les Allemands se trompent aussi quand ils écrivent en Allemand et, il faut accepter qu’une personne dont le Français n’est pas la langue maternelle se trompe aussi. Donc, je trouve ce conseil très pertinent.

Mélanie : Et en plus, ce qui m’a aidé beaucoup, c’est [que] par exemple, je me suis imaginée : s’il y a quelqu’un en Allemagne ici – parce que c’est ma langue maternelle – qui vient d’ailleurs et qui vient en Allemagne, je ne pense pas comme : « Oh là là, il fait beaucoup de fautes, c’est grave ça ! », je  ne pense pas de cette façon et je ne pense pas que quand je suis en France, il n’y a pas une personne qui dit : « Oh là là, elle ne peut pas parler ! »

Johan : Exactement ! Les gens, en général – bien sûr, les gens stupides, il y en a partout – l’extrême majorité des gens sera content de dire : « Tiens, elle fait des efforts pour parler dans ma langue ! » Donc, effectivement, je pense que choisir ça comme conseil n°1, c’est assez pertinent. Et d’après ton expérience, qu’est-ce que tu déconseillerais ? Est-ce qu’il y a une erreur que tu as faite ou une chose que tu estimes comme étant à ne pas faire ? Qu’est-ce que ce serait ? Quelque chose, peut-être, qui t’a freinée dans ton apprentissage ?

Mélanie : Oh là là ! C’est seulement si on réfléchit trop. Non, ce n’est pas très bien, ça.

Johan : Tu veux dire que ce que tu déconseilles, c’est quoi ? C’est de trop se concentrer au moment de parler ? C’est de ne pas parler de façon fluide ?

Mélanie : Oui, c’est ça. Je pense qu’il y a encore un conseil parce que quelques-fois je fais des enregistrements avec le portable ou quelque chose comme ça et j’enregistre quand je parle et comme ça je peux contrôler : « Ah, d’accord, il y a un accent », par exemple ou je peux comparer un peu ma prononciation à celle des Français.

Johan : Oui, ce n’est pas mal et ça te permet aussi de travailler et de pratiquer et d’utiliser une langue que tu n’utilises pas au quotidien, donc, c’est assez sympa. Je résumerais, mais, en gros [c’est] : ne pas avoir peur de faire des erreurs, s’enregistrer de temps pour pratiquer à l’oral et ne pas trop réfléchir, ne pas trop – comme disent les Français – se prendre la tête, essayer de parler, de s’exprimer sans forcément trop réfléchir à la théorie. C’est ce que tu nous recommandes ?

Mélanie : Oui, exactement !

Johan : Super ! En tout cas, voilà, Mélanie, je ne sais pas si tu n’as rien d’autre à ajouter, je te remercie vraiment d’avoir été avec nous aujourd’hui. Je mettrai un petit lien vers ta chaîne YouTube pour que les gens aillent jeter un petit coup d’œil à ton joli CD (que je recommande) et le nouveau qui sera … Tu as un exemplaire avec toi du nouveau CD, la couverture ?

Mélanie : C’est celle-ci.

Johan : Tu as ça à côté de toi, j’en étais sûr ! Magic morning melodies. Les gens auront plus d’informations en allant voir ta chaîne et puis, peuvent écouter tes jolis morceaux à la fin des vidéos de Français Authentique.

Mélanie : Merci, c’est gentil !

Johan : Merci à toi, Mélanie d’avoir été avec nous et, à bientôt !

Mélanie : Oui, à très bientôt !

Johan : Salut !

Mélanie : Salut !

J’espère que vous avez apprécié cette vidéo. Si c’est le cas, faites-moi-le savoir à l’aide d’un pouce en l’air sur YouTube ou sur Facebook. Ça me permet, moi, de juger : « OK, les gens qui regardent mes vidéos aiment ce genre de témoignage. » Et si vous aimez ça, eh bien, j’ai plein de monde à contacter ; je contacterai en priorité des membres de l’académie Français Authentique avec lesquels j’ai de superbes rapports ; on discute chaque jour sur le groupe privé Facebook, etc. Je contacterai en priorité ces gens-là, mais je contacterai également d’autres personnes sur Facebook pour présenter un petit témoignage ; c’est l’histoire de parler 25 minutes–30 minutes avec moi sur Skype et d’enregistrer cette vidéo que je mettrai en ligne sur la chaîne. Donc, si vous aimez ce genre d’exercice et que vous en voulez d’autres, un petit « J’aime ».

Avant de nous quitter, je rappelle à ceux qui découvrent Français Authentique à travers cette vidéo que Français Authentique propose également des cours qui vous permettent d’apprendre à parler le Français en prenant du plaisir comme si vous étiez en France. Il y a un petit lien en bas de cette vidéo et à la fin, vous pouvez jeter un petit coup d’œil, ça vous permettra de découvrir le contenu Français Authentique. On apprend, on parle Français et on le fait en prenant du plaisir. Donc, jetez un petit coup d’œil à mes packs 1, 2 et 3 et je vous dis à très bientôt pour une nouvelle vidéo.

Salut !