24 Déc Comment retrouver le courage d’être vraiment toi-même
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Transcription de l’épisode :
Salut très chers amis, et bienvenue dans un nouvel épisode de Marchez Avec Johan.
Et aujourd’hui, nous allons parler, en ce jour de réveillon… Alors, je ne suis pas en France, je ne fêterai pas Noël en France cette année. Je reste ici avec ma famille. On a décidé cette année de fêter Noël en Asie, toujours aux Émirats arabes unis, sans passer par la case voyage pour entrer en France, etc. Et bien sûr, on est à la fois tristes parce que notre famille va nous manquer, mais on est aussi contents de pouvoir être ici entre nous. On est vraiment très très bien ici. On a une météo un peu plus sympathique qu’en France, puisque l’année dernière, j’avais fêté Noël en France, mais j’avais pas le temps, tu sais, froid et sec que j’aime à Noël. C’était de la pluie, de l’humidité. Donc, là, on a une météo qui n’est pas forcément la météo de Noël. Je suis rarement en short habituellement pour Noël, mais voilà, on est très bien et puis on est très bien installé. On est dans un endroit où on peut faire ce qu’on veut, être libre et dans lequel on se sent très bien.
Bon, ça, j’en avais déjà parlé dans un autre épisode de podcast, et c’est pas le sujet. Aujourd’hui, on va parler du courage d’être vraiment soi-même. Avant ça, peut-être, si tu t’intéresses au développement personnel, je t’invite à suivre le premier lien dans la description pour télécharger gratuitement mon livre 4 pilules pour une vie riche et sans stress. Tu cliques dessus, tu obtiens directement ce livre sous la forme d’un PDF et tu peux le lire, là pendant les fêtes. C’est toujours bon, je trouve, de lire des choses inspirantes, et j’ai essayé avec cet ouvrage d’être inspirant et de te donner les bases du développement personnel pour que tu vives une vie riche et sans stress et que tu améliores ton français tout en améliorant ta vie.
Alors aujourd’hui, on va parler d’un grand piège qui est de vouloir une chose qu’en fait on ne veut pas. « Ne veux pas ce que tu ne veux pas ». J’avais tiré ça d’un livre d’un américain qui s’appelle Darren Hardy, qui est spécialisé dans la productivité, et j’avais trouvé ça super. Ne veux pas ce que tu ne veux pas, parce que parfois il y a des choses qu’on ne veut pas.
Par exemple, moi… tu vois, je vais en reparler après, mais je suis introverti, j’aime faire mes trucs dans mon coin, j’aime pas les grands groupes, j’aime pas aller réseauter au milieu de 20 personnes. C’est contre ma nature. Donc, ça je ne veux pas. Mais parfois, je le veux, c’est-à-dire parfois je vais me dire « ouais, mais regarde, tout le monde le fait, c’est vraiment une source de succès, il faudrait que je me force à le faire », alors qu’en fait, non, ne veux pas ce que tu ne veux pas.
J’avais un peu parlé de ce sujet dans un épisode qui s’appelle « Sois toi-même » en décembre 2024. D’ailleurs, avec la nouvelle application mobile de Français Authentique, tu peux retrouver des anciens épisodes. Donc, si tu utilises l’app, tu as en bas une fonction de recherche et si tu tapes « Sois toi-même », tu retrouveras cet épisode. Si tu tapes « stress », tu retrouveras tous les épisodes qui contiennent le mot « stress » dans le titre. Donc, voilà, ça te permet d’aller rechercher facilement d’anciens contenus.
Et donc, il y a tout juste 1 an, je te disais qu’on est parfois tenté de faire des choses qui vont contre ce qu’on veut et contre qui on est. Donc, tu vois, tu peux te demander, mais pourquoi 1 an après, tu nous reparles, Johan, du même sujet. C’est parce que je trouve que ça devient de plus en plus difficile d’être soi-même.
Le philosophe américain Emerson en parlait déjà. Alors lui, c’était plutôt au XIXe siècle, mais il disait « être soi-même dans un monde qui tente constamment de faire de nous quelqu’un d’autre est le plus grand des accomplissements ». Eh bien, si Emerson vivait en ce moment, il dirait « oh la la, c’est de pire en pire, c’est vraiment de plus en plus compliqué ».
Donc, on va voir pourquoi c’est difficile d’être soi-même. On va voir aussi pourquoi c’est indispensable de ne pas tomber dans ce piège, et je vais te donner quelques stratégies pour justement t’autoriser à rester toi-même, parce que ça commence par toi en fait, ça commence par toi.
Donc, tu vois, pourquoi c’est difficile ? Le grand problème, c’est le bruit extérieur, et notamment les réseaux sociaux comme amplificateur de comparaison. On est sans arrêt en train de se comparer aux autres. Alors parfois, on le fait pas directement, mais le fait de regarder des contenus sur les réseaux sociaux, indirectement, on va se dire « oh ouais, mais regarde cette personne, elle fait ça, regarde la belle vie qu’elle a, regarde tout le succès qu’elle a ». Et le problème de ces comparaisons, c’est qu’elles sont biaisées. Quelque chose de biaisé, ça veut dire c’est quelque chose qui n’est pas objectif. On juge sans avoir tous les éléments.
Et moi, j’ai eu l’occasion de voir certaines influenceuses prendre des photos sur la plage un dimanche, pendant que moi je suis allongé avec ma famille. Et je vais… un coup je suis avec mon livre, un coup je joue avec les enfants, et je vois une fille qui prend 20, 30, 40, 50 fois la même photo, tu vois, qui se prend en photo. Et ensuite, elle va poster cette photo en disant « ouais, j’ai passé une super journée à la plage, c’était génial ». Mais en fait non, elle a passé son temps à essayer de prendre la photo parfaite tout en étant seule et probablement malheureuse. Et les gens qui regardent cette photo vont dire « waouh, t’as vu, c’est trop bien où elle est, elle est heureuse, elle passe des bons moments ».
En fait, nous, on veut des choses qui sont impossibles et inexistantes. On est sans arrêt en train de se comparer d’une manière invisible et on compare en fait les meilleurs moments des autres ou en tout cas quelque chose d’artificiel chez les autres parce que les gens ne te montrent que ce qui est bon en fait, que le positif. Et toi, tu compares ça avec ton existence à toi, ta réalité à toi qui est à la fois positive et négative. Donc, ça ne peut pas marcher, en fait. Tu compares quelque chose qui est la vie, ce que tu vis, ce qui est positif et négatif, à des choses qui ne sont que positives.
Et je le vois moi-même. Tu sais, en tant que créateur de contenu, j’essaie, et notamment le podcast du mercredi Marchez Avec Johan est un super outil pour ça, pour moi, parce que j’ai plus le temps qu’en vidéo, je peux te parler autant que je veux, je peux prendre mon temps. Et du coup, j’arrive plus facilement à te parler du positif comme du négatif. Mais on a tendance, quand même, humainement, à partager ce qui est positif. Je vais pas arriver et te faire un épisode « ouais, hier, j’étais pas bien. Je me suis disputé avec ma femme au réveil. Et puis après, je suis allé avec les enfants. Ils se mettaient tous à crier, donc, je me suis énervé. Je suis rentré dans mon bureau, j’ai claqué la porte. J’ai passé ma matinée énervé à essayer de lire, mais j’arrivais pas parce que j’étais trop énervé ». Voilà, je vais pas te parler de ça.
Alors, ça m’arrive pas, parce qu’en général, même si je m’énerve, je reste présent et je m’excuse au bout de 5 minutes parce que c’est ma personnalité. Mais tu vois, évidemment qu’on va pas te faire un podcast dans lequel on te raconte ça. Et pourtant, il y a des moments où c’est difficile, il y a des moments où c’est compliqué. Et donc, même moi qui prône en permanence la transparence, je ne peux pas te dire tout ce qui est positif, tout ce qui est négatif dans ma vie. Je suis obligé d’adapter parfois un petit peu le message.
Et du coup, ceux qui vont se comparer avec moi vont avoir une comparaison qui n’est pas juste, qui n’est pas pertinente. Et ça, c’est un des grands, grands, grands problèmes des réseaux sociaux, parce que du coup on a une grande pression pour vouloir en faire toujours plus, parce qu’on se dit « mais regarde les autres, ils arrivent à en faire plus ». On va vouloir faire mieux, on va vouloir faire comme les autres. Tout ça, c’est quand même rendu encore plus fort par notre besoin humain d’être accepté et validé par les autres. On a besoin de ça, d’être accepté par le groupe, parce que c’est inscrit dans notre ADN. Si on vivait comme à l’époque de nos ancêtres dans la nature, on ne survivrait que si on se faisait partie d’un groupe. Donc, à l’époque, être rejeté par le groupe, ça signifiait mourir. Donc, forcément, c’est dans notre ADN de vouloir rester et être accepté par le groupe. On a donc ce besoin humain d’être accepté, d’être validé. Et forcément, ça nous pousse à nous comparer aux autres.
T’as plein d’exemples. Dans l’entreprise, par exemple. Tu vois, moi… Alors, j’arrive de mieux en mieux à être complètement exclu des contenus courts. Mais à l’époque, pendant laquelle je me faisais accrocher par les contenus courts… tu sais, c’est les reels sur Instagram, les shorts sur YouTube, les reels sur Facebook, j’allais voir des modèles d’entreprise, des modèles de lancement magique qui permettaient d’apporter plus de valeur, de mieux convaincre, etc. Tu vas avoir parfois des injonctions à poster plus, à optimiser plus, à faire plus, à avoir plus d’énergie, notamment il y a l’influenceur américain Gary Vaynerchuk, qui est adepte de la philosophie qu’ils appellent « hustle ». En gros, tu te bats tout le temps. T’as pas envie, tu le fais quand même, t’en fais toujours plus sans réfléchir.
Et le risque, c’est forcément de se perdre, de se surcharger mentalement, d’être complètement perdu, ne plus savoir où aller, avoir un manque de clarté, avoir une perte de sens, du stress. Et quand on vit comme ça, on ne peut pas en fait. On n’a pas de joie, on n’est pas content de ce qu’on fait, on n’est pas heureux.
Donc, la question à se poser déjà, c’est « mais qu’est-ce qu’on veut vraiment et qui on est vraiment ? » Parce que si on va contre, on est malheureux, c’est clair. Ne te force pas à suivre ce qu’il y a dans le bruit extérieur. Tu le comprends. Déjà, c’est contre-productif parce que tu te compares à des choses qui sont irréelles, d’une part, mais en plus de ça, ça te détruit. Donc, le mieux, c’est de commencer par connaître ses propres valeurs, ses valeurs centrales.
Moi, c’est ma foi, ma famille, ma liberté, la simplicité justement, le travail, le fait d’être tranquille, de faire les choses d’une manière humble, d’une manière efficace, d’une manière bienveillante, mais à mon rythme, pas forcément trop en faire, d’avoir régulièrement des petites pauses pendant lesquelles je peux réfléchir, respirer, prier si j’en ai envie, lire. Vraiment, toutes ces choses qui sont des choses centrales pour moi. Et je t’invite à définir quelles sont ces choses à toi, parce qu’il y a rien, personne ne peut t’influencer là-dedans. On peut juste t’inspirer, mais l’idée, c’est que tu définisses tes valeurs centrales à toi.
Quel est ton style de travail ? Moi, j’aime bien avoir un style relativement minimaliste, mais exigeant. J’aime bien penser long terme. J’aime bien privilégier la qualité à la quantité. Donc, essaie de déterminer aussi ton style.
Détermine ton but. Qu’est-ce que tu veux vraiment ? Moi, je veux aider les gens à progresser en douleur… En douleur, c’est un mauvais lapsus. Je veux aider les membres à progresser en douceur et pas à consommer, consommer, consommer des contenus sans aller en profondeur et sans rien retenir. C’est pour ça que j’en ai énormément parlé dans « les sept règles de Français Authentique », mon cours gratuit que tu peux retrouver sur YouTube. Je te dis : « Non, il faut pratiquer la répétition. C’est pas en écoutant une chose une fois que tu vas l’apprendre ».
Donc, tout ça, c’est important. Il faut vraiment que tu sois aligné en fait, parce que si tu t’éloignes de toi-même, tu vas être fatigué, tu vas être anxieux, tu vas ruminer et tu ne seras pas heureux. Par contre, si tu reviens à toi, tu seras en paix, tu auras de la clarté, beaucoup de clarté, de la productivité saine, de la joie, et tu sauras quoi faire tout simplement, parce qu’il suffit de t’écouter et de chercher à l’intérieur.
Donc, je te parlais tout à l’heure… tu vois, je peux te donner deux-trois exemples personnels. À une époque, j’étais tenté de me forcer à faire du réseau, à rencontrer des gens, des entrepreneurs. On m’y invite souvent. J’ai même lu des livres sur le sujet et je me disais « ouais, mais ceux qui réussissent, finalement, ceux qui ont de l’impact et qui aident un grand nombre de personnes, ben c’est ce qu’ils font en fait ». Ils vont dans des réseaux, ils vont rencontrer des gens, ils vont dans des événements. Mais moi, j’aime pas ça. Je préfère faire moins, mais le faire mieux. Je préfère avoir peu de contacts, mais avoir des contacts profonds.
Je passe énormément de temps avec ma famille parce que c’est ma priorité. Tous les vendredis après-midi, je parle avec Alberto 2-3 heures, parfois même plus. Et ça, ça vaut tous les réseaux du monde. Je préfère avoir une personne comme Alberto qui me connaît par cœur, qui connaît ma situation, mes objectifs, mes qualités, mes défauts et qui peut m’aider, et bien sûr, c’est réciproque, que quelqu’un que je vais voir une fois avec dix autres personnes autour d’un café.
Ça veut pas dire que je suis fermé. Partout où je suis passé, j’ai noué des contacts. J’ai encore contact avec mes amis d’enfance, j’ai des amis profonds que j’ai rencontrés en Autriche, d’autres que j’ai rencontrés en Allemagne, d’autres, notamment un couple de très bons amis avec lesquels on est en contact ici aux Émirats arabes unis. Mais je préfère avoir peu d’amis, mais avoir des amitiés profondes, en fait. Et ça, c’est un choix personnel, clairement. Donc, je ne me ferme rien, je ne m’exclus rien. J’ai même rencontré des membres de la communauté Français Authentique ici, mais je vais pas le faire d’une manière forcée, comme parfois je pourrais être tenté de le faire, parce que c’est pas moi, tout simplement.
Pareil pour la complexité dans l’entreprise. À un moment, j’ai voulu ajouter plus, plus de contenu, plus de personnes qui travaillent avec moi pour faire plus. Je suis même tombé dans la fausse croyance de dire « si tu n’es pas en croissance, eh bien, c’est bien que tu déclines ». Mais en fait, non, c’est pas ça. C’est pas ça. Tu déclineras le jour où tu n’apporteras plus de valeur. Et si tu veux apporter de la valeur, c’est pas la quantité qui compte, c’est la qualité, c’est l’impact de ton message et c’est ta capacité à aider les autres.
À un moment, j’en ai parlé aussi, j’ai voulu standardiser certaines parties de la création de mon contenu, et je faisais des contenus un peu plus bateau, juste parce que ça marchait chez les autres, je voyais aussi que ça marchait mieux chez moi en termes de nombre de vues, et je me poussais à faire ces contenus-là, alors que c’est pas moi. De ça, j’en suis revenu aussi. Maintenant, je fais des contenus qui me plaisent à moi, même s’il y a un peu moins de monde qui les regarde.
Donc, tu vois, c’est assez simple. Si tu veux, toi-même, justement, rester toi-même, éviter de tomber dans cette spirale de vouloir ce que tu ne veux pas, je t’invite déjà, le plus important, à réduire le bruit. Donc, moins de réseaux sociaux, moins de sources, moins de comparaisons. Essaie de pratiquer le silence. Par moments, tu t’assois, tu réfléchis. Tu vois, du temps sans écran, sans WhatsApp, sans infos.
Il y a Pascal qui disait en fait… Alors, j’ai plus la citation exacte, mais il disait que la majorité des problèmes du monde venait du fait que les gens n’étaient pas capables de s’assoir seuls dans une pièce et réfléchir. Ça, voilà, je pense qu’il a tout dit quand il a dit ça. Donc, réduis le bruit, pense, essaie d’avoir un certain nombre de rituels.
Pour moi, la routine matinale marche super bien. Et j’ai aussi deux-trois mini-pauses la journée pendant lesquelles, voilà, je m’assoie sur mon fauteuil dans lequel je me sens bien, je respire. Parfois je pense, parfois je prie. Ensuite, je prends mon livre et mon café. Il faut, encore une fois, que ce soit un truc personnel. Ce qui marche bien pour moi, c’est ma lecture du matin, pendant ma routine à 5h30, pendant que ma famille dort, ma lecture du matin avec mon journal dans lequel j’écris, voilà. Et bien sûr, mes marches, les fameuses marches conscientes, pendant lesquelles je laisse mes écouteurs dans la poche et où je réfléchis, je respire. Et ça, c’est important.
Essaie aussi de simplifier pour, justement, ne pas vouloir toujours autre chose. Moi, je préfère faire moins, mais le faire mieux. Essaie d’avoir une vision long terme. Tu cherches pas à avoir raison aujourd’hui, tu veux être fidèle sur 10 ans. Moi, j’ai récemment, enfin le mois dernier, je suis parti en retraite pour m’isoler trois jours. Alors, pas la retraite quand on arrête de travailler, mais une retraite de trois jours, seul, isolé de ma famille, pour réfléchir. Ça sert à avoir une vision vraiment long terme.
Et bien sûr, essaie régulièrement de revoir tes engagements et tes routines, parce que ça c’est… je te parle de ça de par mon expérience. Les habitudes, c’est super puissant. Ça nous permet de mettre en place des choses super utiles pour notre vie et de vivre en meilleure santé. Mais parfois, il y a un petit risque, c’est que tu peux finir par faire des choses par habitude. Au départ, t’avais de bonnes intentions, et tu mettais en place cette habitude pour avoir du positif, mais cette habitude, elle t’apporte plus rien. Et tu continues de le faire, parce que, comme c’est une habitude, tu réfléchis pas, et ça t’apporte plus rien. Donc, soit ça te surmène, ça te surcharge. Et moi, pas mal de fois, je me disais « attends, ça je le fais tous les jours depuis 2 ans, mais en fait ça ne sert plus à rien ». Donc, je t’invite aussi à revoir régulièrement pourquoi tu fais ça.
Donc, tu réduis le bruit, tu as un certain nombre de rituels, de routines, tu as une vision long terme, tu simplifies au maximum, et régulièrement tu te demandes « pourquoi je fais ça ». Si tu fais ça, tu vas trouver la paix, tu vas accepter d’être toi, même si c’est moins attrayant pour les algorithmes. Au moins, tu seras en paix avec toi-même et tu verras que c’est un acte de courage, c’est clairement un acte de courage d’être soi et de ne pas se laisser influencer en permanence. C’est pas instantané, c’est pas parfait, mais tu verras que c’est libérateur. Donc, la promesse, si tu le fais, c’est d’avoir plus de clarté, plus de paix intérieure, plus de productivité, mais de la productivité saine, où tu fais des belles choses et où tu en es fier, et où tu éprouves de la joie.
Donc, ce que je t’invite à faire aujourd’hui, c’est noter une seule chose, vraiment une, une chose que tu vas arrêter de faire parce qu’elle est pas toi. Tu l’as fait soit parce que t’as été influencé par quelqu’un que tu as pu suivre sur les réseaux, ou parce que tu as vu quelqu’un le faire, ou parce que tu penses au fond de toi que c’est bien, mais qui ne te correspond pas. Tu cherches ça, une chose que tu fais, mais qui ne te correspond pas, et tu la cesses. Voilà.
Merci encore d’avoir passé ce moment avec moi. N’oublie pas de suivre le premier lien dans la description pour télécharger mon livre gratuit, 4 pilules pour une vie riche et sans stress, sous forme de PDF. Et je te souhaite un bon réveillon de Noël. À très bientôt ! Salut !